Grenat, limpide, jolis reflets. Le nez s’ouvre sur les fruits noirs, légèrement fumé. La bouche est bien équilibrée même si les tanins sont encore bien présents. C’est élégant, fin, harmonieux, soutenu par une belle fraîcheur. Les épices sont là et persistent sur la fin de bouche. Belle longueur. Ce millésime peut être bu dès maintenant sur un gibier à plumes tels que des grives ou un perdreau.
Grenat, limpide, jolis reflets. Le nez s’ouvre sur les fruits noirs, légèrement fumé. La bouche est bien équilibrée même si les tanins sont encore bien présents. C’est élégant, fin, harmonieux, soutenu par une belle fraîcheur. Les épices sont là et persistent sur la fin de bouche. Belle longueur. Ce millésime peut être bu dès maintenant sur un gibier à plumes tels que des grives ou un perdreau.
JOHN LIVINGSTONE – £17
Restrained, red fruit, herbal aroma. Fine grain palate, clear red fruit with punch here. More fresh, pure than many 2006s.2011-2030.
16/20. Encore en 2006, les Pallières joue la carte de l’élégance, avec ce vin raffiné et subtil, mais aussi avec un personnalité affirmée. Des notes de cerises mûres et une touche de bois caramélisé s’associent aux tanins, parfaitement fondus dans l’ensemble.
92 ($35; from vines averaging 75 years of age) Medium red. Complex nose offers scents of strawberry, raspberry, fresh flowers, minerals and Asian spices. Focused and pure, reminiscent of a serious Burgundy, with sweet red berry flavors and a firming note of cherry skin. Silky tannins add focus to the long, sappy finish.
La couleur est moyennement intense, le nez est frais, très fin et accueillant. Aucune agression. La bouche est harmonieuse dès le début, elle devient assez intense en milieu et monte en puissance doucement et sereinement jusqu’à la fin. C’est élégant et bien équilibré, ça donne déjà du plaisir, c’est minéral et droit. Les arômes sont classiques : des fruits rouges au réglisse, légèrement épicé.
La couleur est soutenue, belle robe grenat foncé. Le nez est un peu fermé et légèrement influencé par le bois, presque « rustique ». La bouche est un peu serrée mais c’est vineux, réglissé, épicé. Les fruits noirs, légèrement grillés. Ce millésime est assez représentatif de ce que l’on peut attendre d’un Gigondas. Il faut encore attendre un peu pour atteindre un équilibre parfait, peut-être un ou deux ans.
JOHN LIVINGSTONE – £17
Red cherry aroma with a tannic crackle, plenty within. Poised wine, fruit runs freely, fine and attractive. Promising. 2012-2032.
Bien coloré, le bouquet de ce vin, de fruits rouges très mûrs, rappelant les vins de Sangiovese de Toscane, est pour l’instant retenu, avec quelques notes boisées évoquant des odeurs de noix. Vin qui est élevé en foudres, dense, d’une bonne concentration et aux saveurs de fruits rouges, ses tannins sont solides, fermes, comme dans certains Châteauneufs-du-Pape. Sérieux, donc.
La couleur est intense et toujours très jeune. Au premier nez on arrive sur une période de fermeture assez sérieuse. En bouche on a une grande présence générale sans être facile à définir dans les détails, ça manque de finesse, c’est un peu austère et les tannins sont assez sérieux. L’équilibre sera au rendez-vous plus tard, la minéralité en est le garant. A voir vers 2012.
Daniel Brunier.
En 2005, la nature fut d’une grande générosité pour les vignerons du sud de la Vallée du Rhône. L’appellation Gigondas a reçu elle aussi sa dose de bonheur cette année-là et le terroir des Pallières s’est exprimé pleinement. Couleur d’un beau grenat profond, complexe et brillant, du fruit très mûr, presque compoté au nez, on parvient à sentir l’onctuosité et le velours. La bouche est belle, droite, équilibrée, fraîche et délicate : c’est très zan à la violette. L’harmonie fait partie de ce millésime, les tanins sont présents mais pas gênants du tout, ils donnent au vin son équilibre et son intensité.
Belle robe, grenat, soutenue. Le nez est complexe, s\’ouvre sur des notes de cuir, pruneaux, sous-bois. En bouche, c\’est élégant, il manque un peu de richesse mais c\’est vineux et onctueux à la fois. Une belle fraîcheur vient soutenir une structure plutôt féminine, c\’est joli et très fin. Ce millésime est prêt à boire, se dégustera parfaitement sur des gibiers à plumes.
La couleur est très belle, rubis intense, ce qui n’est pas toujours évident avec 80% de Grenache. Le nez est profond, un peu fermé encore, les fruits sont rouges et l’ensemble très droit. En bouche on perçoit des arômes de fruits très mûrs, de chocolat ; c’est profond, très riche ; la structure est là mais le grain est assez fin, on a même une sensation de velours qui lui donne une belle longueur ; Millésime de caractère, de force dont le vieillissement est garanti.
Daniel Brunier.
La couleur est grenat aux reflets légèrement tuilés. Nous sommes en présence d’un millésime solaire qui nous offre de bien belles surprises. Le nez est expressif, les arômes de pruneaux, cerise kirchée, cacao se confondent, c’est riche et profond. La bouche est similaire, la structure est charpentée, les tanins sont encore bien en place, laissant présager un potentiel de garde d’une paire d’années encore. C’est équilibré, la finale est guidée par les épices et la fraîcheur, on peut tout à fait le déguster dès à présent.
Couleur rouge, quelques reflets bruns, limpide et brillant. Le vin se présente à nous sur des arômes de pruneaux à l’alcool, fruits confits, noyaux d’abricot, pomme au four ; En bouche il apparait droit et net ; notes de compotes, chocolat amer, et chocolat à l’orange. Il s’agit d’un vin d\’une très belle finesse compte tenu du millésime, qui évolue sur des arômes tertiaires et toujours très épicés.
Certainement à carafer et à partager sur des plats en sauce, coq au vin ou des gibiers.
Leo Borsi
C’est le premier millésime à avoir été produit dans la nouvelle cuverie. Belle couleur. Malgré un caractère assez fermé et discret, le nez offre des arômes de fruits rouges frais, de kirsch, sans aucun effet d’alcool souvent le signe de ce millésime issu d’un été très chaud et sec. En bouche, on retrouve la fraîcheur du terroir perçue au nez ; belle complexité d’arômes dominée par le réglisse ; belle richesse bien contenue, c’est profond et encore très jeune, le relief et le grain sont intéressants. Un petit bémol sur la structure tannique : un léger sec se fait sentir en fin de bouche que les années devraient aplanir.
Aucun vin n’a été produit sous l’étiquette Domaine Les Pallières en millésime 2002.
La robe est belle et encore soutenue. Le nez nous offre des arômes de sous-bois mais reste fin et élégant. La bouche manque un peu de nervosité et d\’intensité. C\’est équilibré, minéral et floral à la fois, les arômes tertiaires dominent. La structure tanique est encore bien marquée mais il faudra profiter de ce millésime de suite ou bien l\’attendre encore un ou deux ans.
Très belle couleur. Nez de coin frais, d’herbe coupée, complexe et profond. En bouche c’est harmonieux, riche et très élégant à la fois. On a atteint une première maturité qui le rend très accessible. On retrouve le chocolat noir, la violette, le réglisse. Un des millésimes de Pallières à commencer à ouvrir maintenant.
Daniel Brunier
Jolie couleur, nuancée, d’une densité moyenne, sans effet d’évolution. Le nez est frais. On est surpris par l’intensité et la richesse de la bouche ; beaucoup de présence, belle fraîcheur de fruit ; La richesse du millésime propulse les arômes en bouche ; Rien n’est caché, c’est direct, droit et généreux. On peut regretter un léger manque de complexité, mais peut être viendra elle avec le temps ?! Potentiel de vieillissement intéressant.
Daniel Brunier
La couleur est superbe, vive, prononcée. Le nez est légèrement animal, s\’ouvrant sur les arômes de fruits cuits. La bouche est fraîche et élégante, on retrouve les pruneaux, les épices, une expression légèrement acidulée, c\’est agréable et fin. Cette cuvée arrive désormais à maturité malgré la présence de tanins encore nombreux.